Le Private Equity occupe une place croissante dans les allocations, mais son suivi reste l’un des aspects les plus chronophages pour les gérants, family offices et équipes de gestion de fortune. Documents hétérogènes, capital calls imprévisibles, multiples à reconstruire… et encore trop d’Excel pour tenter de consolider le tout. C’est précisément là que des solutions comme KeeSystem apportent une réponse : structurer, centraliser et automatiser un suivi historiquement complexe.
Le défi : collecter et fiabiliser la donnée
Entre plateformes qui fournissent des datafeeds partiels et documents PDF envoyés par les gestionnaires, la première difficulté reste la fiabilité de la donnée.
KeeSystem propose une approche hybride :
- récupération automatique des données via les banques,
- saisie manuelle assistée,
- et même lecture automatisée des documents (avis d’opérations, relevés de suivi, etc.).
Objectif : réduire la charge opérationnelle et éviter les interprétations multiples.
Donner enfin une vision claire des engagements
Capital engagé, montants appelés, distributions, engagements restants… Suivre ces indicateurs semble simple sur le papier, mais devient vite complexe lorsqu’on gère plusieurs fonds ou plusieurs banques.
Dans KeeSense, ces données structurantes sont centralisées et mises à jour automatiquement, permettant un suivi clair et cohérent du cycle de vie de chaque fonds.
Valoriser selon les méthodes du gérant
NAV, TRI, multiples (TVPI, DPI, RVPI), cash-flows futurs…
Les gérants n’ont pas une seule façon d’évaluer un fonds, et c’est précisément ce que KeeSense permet : adapter la méthode, modéliser les scénarios et intégrer ces choix directement dans les reportings patrimoniaux.
Un reporting plus structuré, moins artisanal
L’approche de KeeSystem vise un objectif simple : aider les professionnels à passer d’Excel à un modèle plus fiable, plus traçable et plus automatisé — sans complexifier leur quotidien.
Pour découvrir en détail comment KeeSense structure le suivi du Private Equity, lire l’article complet.